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Parti sans laisser d’adresse

Brassens... Reviens s’il te plaît

vendredi 1er février 2008, par grand-Pierre

Les sabots d’Hélène étaient crottés, mais finalement...

Les sabots d’Hélène étaient crottés, mais finalement, Hélène c’était un canon ; bien mieux que Carla Bruni. En plus elle ne demandait pas mieux que d’ouvrir son cœur à un mec sympa. Ah... Hélène.

L’auvergnat, c’était pas Giscard. C’était un auvergnat comme on les aime. Bistroquet à Paname, entre vin rouge et 4’21. Et sous ses dehors radin, grand cœur. Il ne t’aurait pas laissé crever de faim l’auvergnat. Ni de soif.

Jeanne non plus d’ailleurs qu’avait pas de môme et qui accueillait tous ceux de la terre à sa table. Quel turbin elle aurait maintenant !

Pauvre Martin, si humble, si effacé, si triste d’être croquemort qu’il fini par s’enterrer lui même, pour ne pas déranger les gens. Un comble. Tiens il me fait penser à ce pauvre Sarko.

C’est comme l’autre, ce con de grand chêne qu’a quitté sa forêt pour suivre des gros nuls, des moins que rien qui lui ont fait miroiter la lune pour finir par le brûler dans leur cheminée. Non mais j’vous d’mande un peu. On dirait une histoire électorale...

Ah, mon vieux Georges. Qu’est-ce que tu peux me manquer. Le nombril des femmes d’agents de police, c’était quand même quelque chose. Et cette maitresse dis, tu te rappelles, qu’a choisi son époux pour tromper son amant et conduit l’adultère à son point culminant. Non mais quand même.

Quand à l’accordéon du vieux Léon, y-a une éternité qu’on ne la pas entendu et d’ailleurs on ne l’entendra plus. Léon est au Panthéon. C’est bien. C’est bien mais on aurait préféré qu’il soit là encore et toujours pour accompagner tes chansons de sètois et aussi, tant qu’à faire, que le monde ne devienne pas aussi con.

PM